Voila, c'est fait et l'Espagne remporte son 2e titre à l'Euro après une courte victoire sur les allemands (1-0). Bien discret jusque là au niveau comptable par rapport à ses stats en club (plus d'un but par match en près d'une cinquantaine de matchs pour Liverpool contre 2 buts en 6 matchs à l'Euro; autant que le remplacant officiel de Villa (4 buts pour lui en 5 matchs), Guiza), F. Torres a su se rattrapper et d'une bien belle manière en faisant un grand pont sur un controle orienté sur le pauvre P. Lahm. Un joli but qui consacre un très bonne saison pour "el nino" qui aura été l'un des seuls top scorers de cette saison à se montrer digne de son statut. En effet, les Gomez (plus de 25 buts cette saison et pas un seul à l'Euro ce qui lui couta sa place en finale), Toni (auteur de plus de 30 buts avec le Bayern de Munich et zéro à l'Euro) ainsi que le quasi-sur prochain ballon d'or faute de mieux et de trop de retard pris avant l'Euro; C. Ronaldo de qui on attendait plus voir trop avec ses 40 buts en saisons contre un seul à l'Euro et un passe décisive... Bien piètre constat pour ses serials buteurs, sachant que l'on est face à notre plus petit total de buts (avec 4 pour Villa) pour le meilleur buteur depuis 1996 et ce système à 4 poules de 4; on pouvait s'attendre à meiux quand on sait que la plupart des moyennes de buts étaient en hausse cette année par rapport aux années précédentes, même en France...
Bref, un Euro avec des joueurs "rincés", qui ne peuvent enchainer les efforts montrent la normale limite des ête humains et des sportifs et posent la question du trop grand nombre de matchs, de compétitions et d'un calendrier assez abérrant. L'exemple d'un Arshavin brillant pendant 2 matchs (face à la Suède puis aux Pays-bas) mais transparent contre l'Espagne alors que ce dernier n'a pas joué les 2 premiers mathcs de la compétition prouvent l'état de fatigue du jeune homme.
En tout cas, malgré cela, on remarquera qu'il n'y a eu que 3 cartons rouges de distribués et ceux non pas par manque de sévérité des arbitres ou d'ereurs mais parce que les matchs se sont déroulés dans un bonne ambiance et sans accroche particulière. Dans un temps de critique arbitral, il est bon de noté que c'est peut etre les joueurs qui trichent trop et non pas les arbitres qui se trompent constamment: il faut se rappeler du peu de moyen dont ils disposent et de la propention à nos amis footballeurs à nous faire "la commedia del arte".
Un Euro moyen selon moi mais qui est dans la lignée des dernières compétitions internationales durant lesquelles on s'ennuie quelque peu et où il est dur de ne pas s'endormir. Heuresement pour les grandes nations que des équipes comme la Turquie et la Russie font le spectacle au niveau émotionnel et du jeu afin de ramener de jeunes joueurs vers le foot; parce que ce n'est pas en voyant la France joué que beaucoup de licenciés vont s'inscrire cetet année...
Mon équipe type de l'Euro:
Casillas- S. Ramos, Kolodin, Pepe, Shirkov- Senna- Modric, Fabregas- Ballack- Arshavin, Nihat
Remplacants: Van der sar- Lahm, Pranjic, Metzelder-Xavi, Iniesta, Sneijder- Pavlyuchenko, Torres, Podolski
Entraineur des ces équipes: MOI!!!
Meilleur joueurs du tournoi: S. Ramos
lundi 30 juin 2008
dimanche 29 juin 2008
Deux demis et l'addition
Trois semaines, 30 matchs, 3 prolongations et 2 séances de tirs aux buts et nous voici ce soir en finale de cet Euro (qui fut pour moi l'Euro de la fatigue...). Dans le coin gauche, vainqueur à 3 reprises pour 5 finales participant aux 13 Euro tout en l'organisant une fois et ayant 4 fois le meilleur buteur de la compétition et beaucoup d'autre record: l'Allemagne!!! (RFA et RDA confondus pour les différents records) Et sur voter droite, avec 1 victoire pour 2 finales en 11 participations avec 1 titre de meilleur buteur et un nom resté dans l'Histoire de l'Euro (Arconada): l'Espagne!!!!
Au vue donc de l'histoire, l'Allemagne part grand favori tandis que l'Espagne a pour elle un parcours sans faute durant cette Euro. De plus, avec une plus encourageante et plus nette victoire sur d'apathique russe en demi-finale (3-0), les espagnols partent favoris pour cette 13e finale de l'Euro. Seul bémol pour ces derniers: l'absence de l'actuel meilleur buteur de la compétition D.Villa qui avec 4 buts (dont 3 dans le match de poule face à la Russie) devance Podolski et beaucoup d'autres joueurs allemands avec 2 buts.
L'Espagne a rendu une très belle et très nette copie face aux russes tandis que les allemands ont beaucoup plus bataillés face aux très valeureux turques, après avoir menés au score, ne se sont incliné qu'en fin de match (2-3).
Sans vouloir trop me faire mousser, je rappellerai que j'avais donné favori l'Espagne tout en précisant que l'Allemagne aussi irait loin (j’avais aussi parlé des Pays-Bas...: http://101foot.blogspot.com/2008/06/au-fait.html). Cela étant dis, je ne peux m'empêcher de me rappeler les sages paroles de G.Lineker après la défaite des anglais en demi-finale de la coupe du monde 90: "Le football est un sport inventé par les Anglais, qui se joue à 11 contre 11 avec un ballon, et dans lequel c'est l'Allemagne qui gagne à la fin." Bref, après cette sage parole et ma préférence de voir l'Espagne gagné, je ne peux que vous dire que je pense que c'est l'Allemagne qui gagnera son 4e Euro.
Au vue donc de l'histoire, l'Allemagne part grand favori tandis que l'Espagne a pour elle un parcours sans faute durant cette Euro. De plus, avec une plus encourageante et plus nette victoire sur d'apathique russe en demi-finale (3-0), les espagnols partent favoris pour cette 13e finale de l'Euro. Seul bémol pour ces derniers: l'absence de l'actuel meilleur buteur de la compétition D.Villa qui avec 4 buts (dont 3 dans le match de poule face à la Russie) devance Podolski et beaucoup d'autres joueurs allemands avec 2 buts.
L'Espagne a rendu une très belle et très nette copie face aux russes tandis que les allemands ont beaucoup plus bataillés face aux très valeureux turques, après avoir menés au score, ne se sont incliné qu'en fin de match (2-3).
Sans vouloir trop me faire mousser, je rappellerai que j'avais donné favori l'Espagne tout en précisant que l'Allemagne aussi irait loin (j’avais aussi parlé des Pays-Bas...: http://101foot.blogspot.com/2008/06/au-fait.html). Cela étant dis, je ne peux m'empêcher de me rappeler les sages paroles de G.Lineker après la défaite des anglais en demi-finale de la coupe du monde 90: "Le football est un sport inventé par les Anglais, qui se joue à 11 contre 11 avec un ballon, et dans lequel c'est l'Allemagne qui gagne à la fin." Bref, après cette sage parole et ma préférence de voir l'Espagne gagné, je ne peux que vous dire que je pense que c'est l'Allemagne qui gagnera son 4e Euro.
lundi 23 juin 2008
La Proposition...
Quand on entend Zidane parler foot, ou autre chose parfois malheureusement, on se dit qu'il existe effectivement une sorte d'aura ou presque même une protection qui interdit certains de dire que:
"-on s'en fous parce que t'as jamais prouvé que tu y connaissais un bille en tactique ou même analyse du foot."
"- Zidane est la preuve vivante (ou morte sur certains commentaires) que tout les footballeurs ne font pas de bons entraîneurs/commentateurs/annaliste."
"-la médecine n'est pas encore assez avancée pour faire parler les pieds..."
Bref, une sorte de jurisprudence "l'Abbé Pierre" permet à "Mr Coup de boule" de donner son avis et surtout aux journalistes en manque de lui soutirer n'importe quoi. Donc, de ce fait, Zidane dis :"Deschamps est tout à fait légitime pour ce poste (ndlr: sélectionneur de l'équipe de France)"
A part du copinage, une réelle capacité de Deschamps à gérer et entrainer des clubs; où est la fameuse légitimité de ce dernier vis-à-vis d'une sélection?
R. Courbis à toujours dis qu'il ne prendrai jamais une sélection nationale car, pour lui, ce n'est pas le même job et qu'il ne veut pas de ce dernier. En effet, ne pas pouvoir recruter un joueur voulu pour un poste donné n'est pas possible en sélection (à part naturaliser les brésiliennes comme Santos ou Clayton en Tunisie ou les africains Olisadebe en Pologne). De plus, la gestion du groupe par intermittence dans une saison est loin du quotidien d'un club; la visite des possibles sélectionnés en allant les voir durant leur match est loin de la prospection faite de l'entraineur ou de ces recruteurs. De cela découle une mise en place tactique simplifiée dans la plupart des pays; mise à part ceux qui ont une "culture" différente et fortement imprégné dans le jeu du pays et qui permet au joueurs évoluant ou ayant évolué dans le championnat de leur sélection de l'appliquer et de reproduire un schéma plus aisément.
Ce qui n'est pas le cas de la France qui a souvent prouvé son manque de fondamentaux remplacé par de fortes personnalités sur et en dehors du terrain. La défense de fer et la diagonale Barthez-Blanc-Deschamps-Zidane est l'œuvre d'un Jacquet faisant fis des critiques pour mettre en place "SA" tactique.
Revenons à notre Zizou national qui ferait mieux de laisser sa statue du musée Grévin parler pour lui: Deschamps est un très bon entraineur de club mais Domenech a prouvé en 2006 sa capacité à gérer une sélection. Ce poste est ingrat et beaucoup d'entraineurs (et pas des moindres) peuvent en témoigner comme G. Houlier qui a vécu l'élimination avec les bleus de la coupe du Monde 94. Je ne dis pas que Domenech a tout pour lui mais laissons ceux qui ont un projet le temps de le mettre en place, quitte à perdre une génération de joueurs. Quand Eriksson prends l'Angleterre, on pense qu'avec son passé d'entraineur et la génération qu'il a, il va tout gagner. Résultat: trois éliminations en quart de finale de suite entre 2002 et 2006. Son passé à la Lazio lui ayant permise d'être le 1er sélectionneur non-anglais. Il a pour moi gâché une génération de joueurs du fait de ses bons parcours en éliminatoire mais son manque de coaching et sa distance avec les joueurs l'ont mené à sa perte.
Bref, exemple et contre exemple se succèdent mais je pense que le poste le plus médiatisé de France doit être donné à quelqu'un qui le veut et qui a un projet. Domenech a fait des erreurs mais il n'est pas là parce que c'est juste ou "légitime" (sic Zidane) mais parce qu'il le veut et a un passé de sélectionneur chez les jeunes. Beaucoup veulent que les meilleurs (joueurs et entraineurs) français reviennent en France et comme aucun club n'est vraiment à la mesure de Deschamps où n'est libre; il ne reste que la sélection.
Je pense que Domenech doit rester tout en apprenant de cette défaite et arrêter de dire que c'est bien et normal: avec de tels joueurs, même si ont est là pour préparer la coupe du monde 2010; il faut jouer un minimum sinon à quoi bon venir à cet Euro. Après, que Domenech pense que l'Euro est inutile et limite du style "amical"; je ne suis pas loin d'enfin penser comme lui...
"-on s'en fous parce que t'as jamais prouvé que tu y connaissais un bille en tactique ou même analyse du foot."
"- Zidane est la preuve vivante (ou morte sur certains commentaires) que tout les footballeurs ne font pas de bons entraîneurs/commentateurs/annaliste."
"-la médecine n'est pas encore assez avancée pour faire parler les pieds..."
Bref, une sorte de jurisprudence "l'Abbé Pierre" permet à "Mr Coup de boule" de donner son avis et surtout aux journalistes en manque de lui soutirer n'importe quoi. Donc, de ce fait, Zidane dis :"Deschamps est tout à fait légitime pour ce poste (ndlr: sélectionneur de l'équipe de France)"
A part du copinage, une réelle capacité de Deschamps à gérer et entrainer des clubs; où est la fameuse légitimité de ce dernier vis-à-vis d'une sélection?
R. Courbis à toujours dis qu'il ne prendrai jamais une sélection nationale car, pour lui, ce n'est pas le même job et qu'il ne veut pas de ce dernier. En effet, ne pas pouvoir recruter un joueur voulu pour un poste donné n'est pas possible en sélection (à part naturaliser les brésiliennes comme Santos ou Clayton en Tunisie ou les africains Olisadebe en Pologne). De plus, la gestion du groupe par intermittence dans une saison est loin du quotidien d'un club; la visite des possibles sélectionnés en allant les voir durant leur match est loin de la prospection faite de l'entraineur ou de ces recruteurs. De cela découle une mise en place tactique simplifiée dans la plupart des pays; mise à part ceux qui ont une "culture" différente et fortement imprégné dans le jeu du pays et qui permet au joueurs évoluant ou ayant évolué dans le championnat de leur sélection de l'appliquer et de reproduire un schéma plus aisément.
Ce qui n'est pas le cas de la France qui a souvent prouvé son manque de fondamentaux remplacé par de fortes personnalités sur et en dehors du terrain. La défense de fer et la diagonale Barthez-Blanc-Deschamps-Zidane est l'œuvre d'un Jacquet faisant fis des critiques pour mettre en place "SA" tactique.
Revenons à notre Zizou national qui ferait mieux de laisser sa statue du musée Grévin parler pour lui: Deschamps est un très bon entraineur de club mais Domenech a prouvé en 2006 sa capacité à gérer une sélection. Ce poste est ingrat et beaucoup d'entraineurs (et pas des moindres) peuvent en témoigner comme G. Houlier qui a vécu l'élimination avec les bleus de la coupe du Monde 94. Je ne dis pas que Domenech a tout pour lui mais laissons ceux qui ont un projet le temps de le mettre en place, quitte à perdre une génération de joueurs. Quand Eriksson prends l'Angleterre, on pense qu'avec son passé d'entraineur et la génération qu'il a, il va tout gagner. Résultat: trois éliminations en quart de finale de suite entre 2002 et 2006. Son passé à la Lazio lui ayant permise d'être le 1er sélectionneur non-anglais. Il a pour moi gâché une génération de joueurs du fait de ses bons parcours en éliminatoire mais son manque de coaching et sa distance avec les joueurs l'ont mené à sa perte.
Bref, exemple et contre exemple se succèdent mais je pense que le poste le plus médiatisé de France doit être donné à quelqu'un qui le veut et qui a un projet. Domenech a fait des erreurs mais il n'est pas là parce que c'est juste ou "légitime" (sic Zidane) mais parce qu'il le veut et a un passé de sélectionneur chez les jeunes. Beaucoup veulent que les meilleurs (joueurs et entraineurs) français reviennent en France et comme aucun club n'est vraiment à la mesure de Deschamps où n'est libre; il ne reste que la sélection.
Je pense que Domenech doit rester tout en apprenant de cette défaite et arrêter de dire que c'est bien et normal: avec de tels joueurs, même si ont est là pour préparer la coupe du monde 2010; il faut jouer un minimum sinon à quoi bon venir à cet Euro. Après, que Domenech pense que l'Euro est inutile et limite du style "amical"; je ne suis pas loin d'enfin penser comme lui...
Deux sur quatre...
Je ne sais pas si vous connaissez le jeu du PMU portant le même nom mais si l'ont reporte mon pronostic pour les quart de finale de l'Euro, on obtiendrai le nom de ce jeu; jeu qui consiste à essayer de donner 2 chevaux qui doivent arriver dans les 4 premiers. Bref, si l'Euro étai tenu par le PMU, j'aurai peut-être pu gagner de l'argent parce que là, je n'ai fait que perdre de la crédibilité auprès de mon frère qui, lui, avait vu la Russie passé (sachant que mon frère pense que Cruyff a joué et gagné l'Euro avec Gullit...).
Passons sur mes déboires et revenons sur ces résultats:
Portugal-Allemagne:2-3
Face à une Allemagne 2e de son groupe, le Portugal est tombé sur un morceau. Très réaliste comme à son habitude, l'Allemagne s'est surprise à mener très tôt (0-2) après seulement 26 minutes de jeu laissant beaucoup de temps à une équipe qui n'avait pas tant déméritée que cela. Courant après le score et une équipe d'Allemagne qui n'en demandait pas tant, le Portugal reviens avant la mi-temps mais reprends un but par le rêvant Ballack à la 60e minute; ce qui mets définitivement l'Allemagne à l'abri malgré un dernier but du Portugal à la 87e.Comme quoi, quand vous avez un projet de jeu bien ancré comme l'ont les allemands avec peu de failles et de trous au niveau de la composition de l'équipe; quelque soit les joueurs, le résultat n'est jamais loin. De son côté, le Portugal regrettera de n'avoir pas un grand avant centre et de devoir s'en remettre qu'au accélération et mouvements d'un C. Ronaldo trop pressé et sur de son fait lui qui n'a pas fait une apparition digne de ce qu'il a pu accomplir cette saison depuis plusieurs semaines...L'Allemagne rencontrera une surprenante équipe de Turquie en demi-finale.
Turquie-Croatie:1-1 (3-1 aux tirs au but)
Une succession d'attaque/défense comme seuls les turques savent les subir. Dominé mais sans jamais paniqué, laissant l'adversaire tenter; la Turquie est la preuve que la vie et le foot n'est pas régit pas le jeu... En effet, quand on voit le match produit par le remplaçant de luxe Rustu en gardien, qui du haut de ses 117 sélections a tout arrêté, même la transversale d'Olic... Cette générosité, cette fougue qui font des petites équipes des invités de luxe dans le dernier carré; comme un jeune de banlieues à une "Garden party" de l'Elysée. Les turques ne jouent pas bien mais pas mal non plus, leur force résident à ne jamais douté; en tout cas à toujours y croire.Aucun but avant la prolongation de ce match peu riche en action où les croates se sont escrimés à produire du jeu; et puis à la 118 minute, sur un centre de Modric, Klasnic marque ce que Bilic le naïf pense être le but de la victoire: il court comme un défenseur qui oublierait de se replacer et de rester concentré jusqu'au bout. Cette erreur sera fatale aux croates car les turques, sur un ultime coup-franc balancé dans la boîte, réussiront à égaliser. Que dire, ensuite, de l'ascendant psychologique pris par les turques sur les croates; ces derniers ne marquant qu'un tir au but sur 4... Par cette élimination, la Croatie prouve que gagner tout ces matchs de poules ne sert à rien car les allemands du même groupe passent eux en demi; les grandes équipes sont là au bon moment.
Russie-Hollande:3-1 (après prolongation)
Autre math avec prolongation, ce dernier a respecté, si ce n'est le parcours en poule où le statut de favori, le jeu et la maîtrise des russes. Pendant 90 minutes et la prolongation, les russes ont couru et tenter, ont déployés tout ce qu'il pouvait et savait faire devant d'apathique hollandais complètement à cours de jus et d'imagination: éteints les Van der Vaart en Sneijder. Ajoutés à cela un assez mauvaise mise en place tactique (personne sur le flanc droit mise à part un Kuyt dont on se rends compte qu'il est attaquant et pas ailier lorsque la Hollande joue mal et un Sneidjer seul droitier des ailiers incapable de prendre ses responsabilité pour combler un trou préférant encombrer un axe central bouché comme pas permis...) et des choix de Van Basten assez surprenants (Boulharouz étant en deuil de sa petit fille n'aurait pas du jouer si c'est pour le changer par un autre joueur alors que son équipe est malmené; faire rentrer encore un non spécialiste du poste d'ailier en la personne de Van Persie à droite uniquement parce que ce dernier à marqué lors de match précédents alors que Robben chauffe le banc car Van Basten aime voir ses joueur "stars" subir son bon vouloir comme Van Nistelrooy au dernier mondial). Tout cela fait beaucoup pour une équipe qui est complètement passé au travers de ce match comme elle ne nous avait pas habitué dans cette Euro. Encore une équipe à 3 victoires en poules qui sort.
La mauvaise nouvelle du côté russe sera peut-être cette égalisation inespéré sur coup-franc des hollandais qui amena une inutile prolongation tant les russes ont dominés la partie faisant preuve trop tard de réussite marquant 2 fois en prolongation; dont une fois par le merveilleux Arshavin qui a tout fais et des 2 pieds durant ce match. Une prolongation et 30 minutes en plus très lourds pour des ruses qui pêche par excès de jeu parfois; mais comme leur adversaire ont aussi joué une prolongation...
PS: Malgré tout, la Russie réussit bien aux hollandais avec G. Hiddink sélectionneur de la Russie et D. Advocaat entraineur de l'équipe du Zenith St Pétersbourg, vainqueur de la coupe de l'UEFA...
Espagne-Italie:0-0 (4-2 aux tirs au but)
Dernières des 3 équipes au bilan comptable parfait en poule, l'Espagne a été la seule à tomber contre aussi faible qu'elle ce soir. Très peu d'action, une possession au combien stérile pour l'Espagne, beaucoup de fautes et d'arrêts de jeu pour simulations; un partie haché qui permettait d'aller chercher à boire où d'aller pisser...
Deux équipes au profil trop semblable qui se sont regardés jouer: prévisible de l'Italie mais décevant pour l'Espagne même si la qualification est au bout.
Pas grand chose à ajouter si ce n'est que le match se résume à une bataille de grands gardiens avec Casilas et Buffon lors des tirs au but: 2 arrêtés par le premier et 1 par le deuxième.
Pour résumer, j'ai eu 2 bons pronostics sur 4 ce qui fait une moyenne de 50% de réussite ou encore une sorte de 10/20 qui me donne droit à mon "bac spé pronostic".
Remettons notre titre en jeu avec les demi-finale:
Allemagne-Turquie:Allemagne
Russie-Espagne:Espagne
Vous remarquerez mon choix plein d'audace et de folie mais, plus sérieusement, qu'avant le début de la compétition, j'avais donné l'Espagne favori et l'Allemgne (ainsi que les Pays-Bas...) pas loin... Moi, je dis ça, je dis rien...
Passons sur mes déboires et revenons sur ces résultats:
Portugal-Allemagne:2-3
Face à une Allemagne 2e de son groupe, le Portugal est tombé sur un morceau. Très réaliste comme à son habitude, l'Allemagne s'est surprise à mener très tôt (0-2) après seulement 26 minutes de jeu laissant beaucoup de temps à une équipe qui n'avait pas tant déméritée que cela. Courant après le score et une équipe d'Allemagne qui n'en demandait pas tant, le Portugal reviens avant la mi-temps mais reprends un but par le rêvant Ballack à la 60e minute; ce qui mets définitivement l'Allemagne à l'abri malgré un dernier but du Portugal à la 87e.Comme quoi, quand vous avez un projet de jeu bien ancré comme l'ont les allemands avec peu de failles et de trous au niveau de la composition de l'équipe; quelque soit les joueurs, le résultat n'est jamais loin. De son côté, le Portugal regrettera de n'avoir pas un grand avant centre et de devoir s'en remettre qu'au accélération et mouvements d'un C. Ronaldo trop pressé et sur de son fait lui qui n'a pas fait une apparition digne de ce qu'il a pu accomplir cette saison depuis plusieurs semaines...L'Allemagne rencontrera une surprenante équipe de Turquie en demi-finale.
Turquie-Croatie:1-1 (3-1 aux tirs au but)
Une succession d'attaque/défense comme seuls les turques savent les subir. Dominé mais sans jamais paniqué, laissant l'adversaire tenter; la Turquie est la preuve que la vie et le foot n'est pas régit pas le jeu... En effet, quand on voit le match produit par le remplaçant de luxe Rustu en gardien, qui du haut de ses 117 sélections a tout arrêté, même la transversale d'Olic... Cette générosité, cette fougue qui font des petites équipes des invités de luxe dans le dernier carré; comme un jeune de banlieues à une "Garden party" de l'Elysée. Les turques ne jouent pas bien mais pas mal non plus, leur force résident à ne jamais douté; en tout cas à toujours y croire.Aucun but avant la prolongation de ce match peu riche en action où les croates se sont escrimés à produire du jeu; et puis à la 118 minute, sur un centre de Modric, Klasnic marque ce que Bilic le naïf pense être le but de la victoire: il court comme un défenseur qui oublierait de se replacer et de rester concentré jusqu'au bout. Cette erreur sera fatale aux croates car les turques, sur un ultime coup-franc balancé dans la boîte, réussiront à égaliser. Que dire, ensuite, de l'ascendant psychologique pris par les turques sur les croates; ces derniers ne marquant qu'un tir au but sur 4... Par cette élimination, la Croatie prouve que gagner tout ces matchs de poules ne sert à rien car les allemands du même groupe passent eux en demi; les grandes équipes sont là au bon moment.
Russie-Hollande:3-1 (après prolongation)
Autre math avec prolongation, ce dernier a respecté, si ce n'est le parcours en poule où le statut de favori, le jeu et la maîtrise des russes. Pendant 90 minutes et la prolongation, les russes ont couru et tenter, ont déployés tout ce qu'il pouvait et savait faire devant d'apathique hollandais complètement à cours de jus et d'imagination: éteints les Van der Vaart en Sneijder. Ajoutés à cela un assez mauvaise mise en place tactique (personne sur le flanc droit mise à part un Kuyt dont on se rends compte qu'il est attaquant et pas ailier lorsque la Hollande joue mal et un Sneidjer seul droitier des ailiers incapable de prendre ses responsabilité pour combler un trou préférant encombrer un axe central bouché comme pas permis...) et des choix de Van Basten assez surprenants (Boulharouz étant en deuil de sa petit fille n'aurait pas du jouer si c'est pour le changer par un autre joueur alors que son équipe est malmené; faire rentrer encore un non spécialiste du poste d'ailier en la personne de Van Persie à droite uniquement parce que ce dernier à marqué lors de match précédents alors que Robben chauffe le banc car Van Basten aime voir ses joueur "stars" subir son bon vouloir comme Van Nistelrooy au dernier mondial). Tout cela fait beaucoup pour une équipe qui est complètement passé au travers de ce match comme elle ne nous avait pas habitué dans cette Euro. Encore une équipe à 3 victoires en poules qui sort.
La mauvaise nouvelle du côté russe sera peut-être cette égalisation inespéré sur coup-franc des hollandais qui amena une inutile prolongation tant les russes ont dominés la partie faisant preuve trop tard de réussite marquant 2 fois en prolongation; dont une fois par le merveilleux Arshavin qui a tout fais et des 2 pieds durant ce match. Une prolongation et 30 minutes en plus très lourds pour des ruses qui pêche par excès de jeu parfois; mais comme leur adversaire ont aussi joué une prolongation...
PS: Malgré tout, la Russie réussit bien aux hollandais avec G. Hiddink sélectionneur de la Russie et D. Advocaat entraineur de l'équipe du Zenith St Pétersbourg, vainqueur de la coupe de l'UEFA...
Espagne-Italie:0-0 (4-2 aux tirs au but)
Dernières des 3 équipes au bilan comptable parfait en poule, l'Espagne a été la seule à tomber contre aussi faible qu'elle ce soir. Très peu d'action, une possession au combien stérile pour l'Espagne, beaucoup de fautes et d'arrêts de jeu pour simulations; un partie haché qui permettait d'aller chercher à boire où d'aller pisser...
Deux équipes au profil trop semblable qui se sont regardés jouer: prévisible de l'Italie mais décevant pour l'Espagne même si la qualification est au bout.
Pas grand chose à ajouter si ce n'est que le match se résume à une bataille de grands gardiens avec Casilas et Buffon lors des tirs au but: 2 arrêtés par le premier et 1 par le deuxième.
Pour résumer, j'ai eu 2 bons pronostics sur 4 ce qui fait une moyenne de 50% de réussite ou encore une sorte de 10/20 qui me donne droit à mon "bac spé pronostic".
Remettons notre titre en jeu avec les demi-finale:
Allemagne-Turquie:Allemagne
Russie-Espagne:Espagne
Vous remarquerez mon choix plein d'audace et de folie mais, plus sérieusement, qu'avant le début de la compétition, j'avais donné l'Espagne favori et l'Allemgne (ainsi que les Pays-Bas...) pas loin... Moi, je dis ça, je dis rien...
jeudi 19 juin 2008
Les choses sérieuses commencent
Dès ce soir, on rentre dans le vif du sujet avec les quarts de finale de cet Euro avec les premiers matchs à élimination directe: plus de calculs sur le long terme avec un maximum de 120 minutes et des tirs au but pour se départager.Revenons tout de même sur la première phase avec quelques chiffres, informations et conclusions. Tout d'abord, à noter le parcours sans faute des Pays-Bas, de la Croatie et de l'Espagne qui avec 3 victoires en autant de matchs on fait forte impression de sérieux; chose que n'a pas faite, dans répercussion sur son classement, un équipe comme le Portugal (je rappelle à mes plus fidèles que j'avais dis que l'Espagne et les Pays-Bas iraient loin...).Autre fait important, la disqualification des 2 pays hôtes (Suisse et Autriche) dès les phases de poules: chose qui’ était arrivé jusqu'alors qu'aux belges en 2000 (sachant qu'en même temps les Pays-Bas, autre pays hôte en 2000 avait passé les poules). Meilleur parcours tout de même pour les Suisse qui avec une victoire contre les portugais n'ont pas le moins mauvais bilan de cette Euro au niveau comptable tout du moins.En effet, parlons des autres disqualifiés par groupe. Dans le groupe A, petite surprise avec le départ des tchèque qui n'ont pas su garder un score favorable lors du dernier match face à de vaillants turques qui avaient déjà fait le coup aux suisses quelques jours plu tôt. Les turque seront accompagné du Portugal.Dans le groupe B, la surprise vient plutôt du classement que des pays qualifiés. Même si la Croatie avait fini première de son groupe en qualifications pour cet Euro devant respectivement la Russie et l'Angleterre (finissant sur une victoire sur le sol anglais 3 à 2), il était facile de penser que les allemands finiraient premier de ce groupe. Mais, dans une très belle confrontation, ce sont les hommes de Bilic qui prirent le dessus et permirent à la Croatie de finir premier de ce groupe et d'éviter le Portugal en quart et d'affronter la Turquie. Poule B où la Pologne et l'Autriche finisse avec un point, n'ayant pu se départager lors de leur confrontation (1-1).Dans le même cas que la Croatie pendant les éliminatoires, la Roumanie avait fini devant les Pays-Bas à l'époque. Présentée, du coup, comme un gros outsider, la Roumanie n'a pas fait le poids dans ce groupe de la mort mais réussissant tout de même a finir avec 2 points de match nul face aux 2 derniers finalistes de la dernière coupe du monde (Italie et France); ces 2 derniers s'affrontant pour un place en quart aux côtés de la flamboyante équipe des Pays-Bas qui avec 9 buts marqués finit meilleur attaque du premier tour; et qui avec 1 but pris finit meilleur défense ex-æquo avec la Croatie (pour la petite info, la France finit moins bonne défense avec la République Tchèque avec 6 buts encaissés mais aussi moins bonne attaque avec la Grèce, la Roumanie, l'Autriche et la Pologne; tout cela avec 1 unique but...). L'Italie accompagnera donc la Hollande.Le groupe D donne une simple lecture de ces résultats : l'Espagne à tout gagner finissant 1er, tandis que la Grèce (championne en titre...) à tout perdu en ne marquant pas le moindre but et ainsi entrant dans le cercle très fermé des équipes ne marquant aucun but en 3 matchs de poules composé de l'Albanie en 68, de la Turquie en 96 et du Danemark en 2000 (pour vous donner aussi un point de comparaison, même des équipes comme Chypre ou le Luxembourg marquèrent un but en 72, tout en n'en prenant plus de 20...). Bref, assez consternant pour un tenant du titre. Donc, le reste du peu de suspense résidait en la confrontation entre les 2 autres participants: la Suède et la Russie. A ce petit jeu, ce sont les russes qui s'en sont sortis vainqueurs et qui affronteront les Pays-Bas alors que l'Espagne rencontrera l'Italie.Un premier tour sans trop de surprises donc, avec un quart plus prenant sur le papier que les autres (Portugal-Allemagne), des hollandais bien parti et seule manquante la France au vue des ces derniers résultats dans les compétitions majeures. Mise à part cela, un arbitrage très moyen mais très peu d'erreurs "assassines", juste des erreurs de jugement à mon goût comme l'expulsion d'Abidal face à l'Italie qui aurait mérité tout au plus un jaune: en même temps, l'erreur de jugement sur cette action est surtout celle d'Abidal au vue de son intervention alors que Coupet semblait près à intervenir et subtiliser le ballon à un Toni qui n'a toujours pas marqué (comme l'autre géant que l'on attendait: Gomez l'allemand)...
Bref, et pour finir, mon avis sur les quarts:
Portugal-Allemagne:Allemagne
CroatieTurquie: Croatie
Russie-Pays-bas: Pays-bas
Espagne-Italie:Espagne
Bref, et pour finir, mon avis sur les quarts:
Portugal-Allemagne:Allemagne
CroatieTurquie: Croatie
Russie-Pays-bas: Pays-bas
Espagne-Italie:Espagne
Derniers résultats...
Groupe C:
France-Italie : 0-2
Roumanie-Hollande : 0-2
Groupe D:
Russie-Suède: 2-0
Espagne-Grèce: 2-1
France-Italie : 0-2
Roumanie-Hollande : 0-2
Groupe D:
Russie-Suède: 2-0
Espagne-Grèce: 2-1
mardi 17 juin 2008
Ce soir...
Ou jamais.Face à l'Italie, ce soir, la France et une génération de joueurs, jouent peut-être leur dernier match avec les Bleus: Makélélé, Thuram, voire Henry et Vieira?Bref, pour ne pas sortir comme la génération 2002 (Lizarazu, Desailly...) par la petite porte, il va falloir à la France une victoire, et si possible un belle. Car, avant tout calcul hypothétique sur le résultat de la Roumanie et la façon dont va se comporter une équipe des Pays-Bas déjà qualifiée, il faut que la France gagne et c'est cela le plus hypothétique.Face à la défaillance défensive du dernier match (4-1 contre les Pays-Bas: plus grosse défaite de la France en compétition officielle depuis la Coupe du Monde 58 et le (5-2) pris face au futur champion du monde Brésilien de Pelé...), on peut se demander quelle composition sera retenue face aux italiens: il est quasiment sure que Evra débutera tant l'aile gauche de 2006 Abidal/Malouda ne fait plus l'unanimité; même auprès du sélectionneur. Ensuite, son mea culpa fait, il n'en reste pas moins que le spectre et la jurisprudence "Desailly 2002" pèse sur les épaules de Thuram. Cependant, se privant de Méxes dans sa liste, Domenech n'a de vraisemblable et de relativement compétitif le replacement d'Abidal au centre; chose qu'il a fait de nombreuse fois en club mais cela remonte à son époque lilloise (2002-2004). A part son âge, rien dans la saison d'Abidal (qui joue aussi au Barca comme Thuram) ne le mets en avant par rapport à Thuram. Je pense que l'expérience italienne de Thuram et son impact sur un groupe (même si il tendance à brimer certains dans leur capacité comme le flamboyant, lorsqu'il est sous le maillot et capitaine d'Arsenal, Gallas) le mette en bonne position pour un match contre l'Italie. Pat contre, sa présence sera de nouveau mis en cause si la France passe dans les matchs suivants. Bref, à côté de Gallas, je laisse un Thuram qui a tout de même fais partie d'une défense qui a fait ses preuves, sans être parfaite, lors des éliminatoires. Sur le côté droit, malgré un potentiel largement supérieur à ses concurrents, le cas Sagnol inquiète: à la ramasse face à la Roumanie, incapable de multiplier els montées et redescendant en marchant; complètement dépassé par des ailiers qui en mettront bien d'autres dans le vent face aux Pays-Bas; Sagnol devra peut-être laisser sa place lui qui n'est pas en forme au bon moment. L. Diarra pour le remplacer parait logique tant le sélectionneur l'apprécie à ce post malgré sa petite taille.En même temps, pendant que la France en prenait 4, ce n'est pas comme si il en mettait 3... En effet, les carences sont aussi offensives où Ribery se trouve dépositaire de tout le jeu, devant prendre le flambeau d'un Zidane; chose qu'il n'a jamais aimé faire que ce soit ici ou en club avec Marseille. Il n'est pas un leader mais un très bon soldat/caporal capable d'accomplir ce qu'on lui demande tout en prenant du plaisir et du coup, en n'en donnant aux autres. Il n'a jamais vraiment pris jeu à son compte dans les différents clubs qu'il a fait, il doit sa réussite au Bayern d'être entouré de star ce qui lui permet de passer plus inaperçu et donc de s'assumer. Il n'aime pas la pression au point de refuser de tirer un pénalty important dans une séance de tirs au but importante à son époque marseillaise, lui qui ne pourra arguer une défaillance technique à ce niveau... La France doit profiter du grand talent de Ribéry mais ne doit pas essayer d'en faire un meneur de peur de se retrouver dans un "cas Micoud" qui avait été appelé pour remplacer un Zidane blessé en 2002 et qui avait été beaucoup critiqué de ne pas avoir remplis le vide laissé par Zidane. Injuste est d'en vouloir à un joueur de la forme de Ribéry de moins bien jouer qu'en club sachant qu'on ne lui demande pas d'être un leader aux côtés d'un Toni ou d'un Kahn...A ses côtés, même problème qu'en défense ou Domenech a préféré Nasri le droitier à un Ben Arfa qui aurait pu prendre au pied levé le poste d'un Malouda qui s'efface chaque jour un peu plus d'un terrain de football. Les décisions et choix sont restreints. Aux côtés d'un Toulalan indiscutable (qui sera surement l'un des seuls, avec Ribéry, a être rappelé après cet Euro en bleu...), on voit mal Domenech mettre quelqu'un d'autre qu'un Makélélé; sachant qu'en plus, j'ai mis Diarra arrière droit et qu'il ne reste plus de milieu défensif, merci Domenech et son staff médical... Peu de solutions donc, ou peu probable, mais vu le niveau de Malouda, je pense que Domenech va tenter Ribéry à gauche et Nasri ou Govou à droite.En attaque, le "choix de riche" du début de compétition qui voyait laisser Trézeguet et Cissé à la maison se transforme en choix par défaut: Chimbonda... Gomis je voulais dire ne débutera pas donc il reste 3 personnes pour 2 postes sachant qu'aucune formule ne satisfait vraiment, au niveau comptable tout du moins, par rapport à une autre.Voila mon tour d'horizon d'une génération qui, on l'espère, fera croire encore quelques années aux français que la France est un pays de foot, voire de sport...
Composition de moi-même:
Coupet- Diarra, Gallas, Thuram, Evra- Govou, Makélélé, Toulalan, Ribéry- Qui vous voulez, je vois pas la différence...
Composition de moi-même:
Coupet- Diarra, Gallas, Thuram, Evra- Govou, Makélélé, Toulalan, Ribéry- Qui vous voulez, je vois pas la différence...
samedi 14 juin 2008
vendredi 13 juin 2008
mercredi 11 juin 2008
Des victoires et un match très nul...
Ca y est, toutes les équipes sont rentrées dans cet Euro et ont fait leur premier match. Quel bilan tirer de cette première journée?
Tout d'abord le sens unique qu'ont pris les scores avec que des victoires "x à zéro" ("x" étant ici un chifre compris entre 1 et 3); sans réel retournement de situation.
Ces victoires nous apprennent que le niveau physique de la plupart des joueurs n'est pas au point: entre ceux qui n'ont pas beaucoup joué cette année (10 matchs), et ceux qui ont beaucoup joué (plus de 50 matchs pour certains), le manque de fraicheur se fait sentir avec des matchs décousus et où l'équipe qui ouvre la marque gère le score sans trop se fatiguer. Cela donne des victoires avec peu de spectacle.
Mise à part les grosses cylindrées que sont l'Allemagne, les Pays-bas et l'Espagne, aucune équipe présente n'a montré de quoi remporter cette compétition. Les joueurs de ces équipes n'ont pourtant pas moins joué que les autres mais ils ont su puiser dans les ressources pour une compétition internationale: les grosses équipes se reconnaissent à leur capacité à être au plus haut niveau plus souvent que les autres.
Mise à part ces matchs sans suspense se pose la question de l'équipe de France incapable de faire le strict minimum syndical comme a su le faire le Portugal: un match nul dans tout les sens du terme qui casse le "rythme" imposé par cette compétition de folie jusqu'alors!!!!
Seule vrai confrontation entre grosses équipes, le match Hollande-Italie a débouché sur une démonstration hollandaise qui rappelle la fragilité d'une prétendu grosse équipe qui a tout de même conquis la moitié de ces titre mondiaux avec la 2e guerre mondiale (époque où la plupart des équipes étaient invités et étaient très peu nombreuseq: en 34, que des pays européens et américains plus l'Egypte; en 38, que des pays européens et américains...) et qui fait preuve d'un manque flagrant de stabilité dans le jeu et en dehors tant au niveau international que national.
Bref, de piètres matchs trop frileux qui rappellent que l'ennuyeux et perreux adulte/Euro est beaucoup moins drôle et amusant à regarder l'insouciant et toujours jeune bébé/CAN: l'un veux devenir l'autre tandis que l'autre réve de redevenir l'un... (Je vous laisse méditer là dessus et trouver "qui est qui" ;pas Maria-Ange Nardi...)
Tout d'abord le sens unique qu'ont pris les scores avec que des victoires "x à zéro" ("x" étant ici un chifre compris entre 1 et 3); sans réel retournement de situation.
Ces victoires nous apprennent que le niveau physique de la plupart des joueurs n'est pas au point: entre ceux qui n'ont pas beaucoup joué cette année (10 matchs), et ceux qui ont beaucoup joué (plus de 50 matchs pour certains), le manque de fraicheur se fait sentir avec des matchs décousus et où l'équipe qui ouvre la marque gère le score sans trop se fatiguer. Cela donne des victoires avec peu de spectacle.
Mise à part les grosses cylindrées que sont l'Allemagne, les Pays-bas et l'Espagne, aucune équipe présente n'a montré de quoi remporter cette compétition. Les joueurs de ces équipes n'ont pourtant pas moins joué que les autres mais ils ont su puiser dans les ressources pour une compétition internationale: les grosses équipes se reconnaissent à leur capacité à être au plus haut niveau plus souvent que les autres.
Mise à part ces matchs sans suspense se pose la question de l'équipe de France incapable de faire le strict minimum syndical comme a su le faire le Portugal: un match nul dans tout les sens du terme qui casse le "rythme" imposé par cette compétition de folie jusqu'alors!!!!
Seule vrai confrontation entre grosses équipes, le match Hollande-Italie a débouché sur une démonstration hollandaise qui rappelle la fragilité d'une prétendu grosse équipe qui a tout de même conquis la moitié de ces titre mondiaux avec la 2e guerre mondiale (époque où la plupart des équipes étaient invités et étaient très peu nombreuseq: en 34, que des pays européens et américains plus l'Egypte; en 38, que des pays européens et américains...) et qui fait preuve d'un manque flagrant de stabilité dans le jeu et en dehors tant au niveau international que national.
Bref, de piètres matchs trop frileux qui rappellent que l'ennuyeux et perreux adulte/Euro est beaucoup moins drôle et amusant à regarder l'insouciant et toujours jeune bébé/CAN: l'un veux devenir l'autre tandis que l'autre réve de redevenir l'un... (Je vous laisse méditer là dessus et trouver "qui est qui" ;pas Maria-Ange Nardi...)
mardi 10 juin 2008
Espagne-Russie
Feuille du match:
ESPAGNE: 4 (Villa, 20e, 44e et 74e/ Fabregas, 91e)
Casillas (Cap.)- Capdevilla, Marchena, Puyol, Sergio Ramos- Silva (Xabi Alonso, 78e), Senna, Xavi, Iniesta (Carzorla, 63e)- Torres (Fabregas, 54e), Villa
Joueur du match: Villa
RUSSIE: 1 (Pavlyuchnko, 86e)
Akinfeev- Zhirkov, Kolodin, Zirianov, Anioukov- Shirokov, Bilyaletinov, Semak (Cap.), Semshov (Torbinskyi, 57e), Sytchev (Bystrov, 46/ Adamov, 70e) - Pavlyuchenko
Joueur du match: Zhirkov
Une succession "d'attaque/défense" remportée par un efficace équipe espagnole qui ne pourra se permettre ce genre de luxe (sortir Torres en millieu de match pour faire rentrer Fabregas) à chaque match: un suffisance dangereuse.
A part cela, 3 passes en profondeur dans un axe russe à l'agonie ont suffit aux espagnols à plier un match où ils ont été mis en danger à moult reprises: ce ne sont pas forcèment les défenseurs russes qui ont été plus mauvais par leur abscence que leurs homologues russes ; mais plutôt les attaquants russes qui ont été moins efficaces. Quasiment aucun duel réel pendant ce match, très peu d'interventions. Une insolente réussite qui ne peut cacher les vides apportés par le schéma tactique espagnole qui laisse ses ailes vides.
Note du match: 13/20
ESPAGNE: 4 (Villa, 20e, 44e et 74e/ Fabregas, 91e)
Casillas (Cap.)- Capdevilla, Marchena, Puyol, Sergio Ramos- Silva (Xabi Alonso, 78e), Senna, Xavi, Iniesta (Carzorla, 63e)- Torres (Fabregas, 54e), Villa
Joueur du match: Villa
RUSSIE: 1 (Pavlyuchnko, 86e)
Akinfeev- Zhirkov, Kolodin, Zirianov, Anioukov- Shirokov, Bilyaletinov, Semak (Cap.), Semshov (Torbinskyi, 57e), Sytchev (Bystrov, 46/ Adamov, 70e) - Pavlyuchenko
Joueur du match: Zhirkov
Une succession "d'attaque/défense" remportée par un efficace équipe espagnole qui ne pourra se permettre ce genre de luxe (sortir Torres en millieu de match pour faire rentrer Fabregas) à chaque match: un suffisance dangereuse.
A part cela, 3 passes en profondeur dans un axe russe à l'agonie ont suffit aux espagnols à plier un match où ils ont été mis en danger à moult reprises: ce ne sont pas forcèment les défenseurs russes qui ont été plus mauvais par leur abscence que leurs homologues russes ; mais plutôt les attaquants russes qui ont été moins efficaces. Quasiment aucun duel réel pendant ce match, très peu d'interventions. Une insolente réussite qui ne peut cacher les vides apportés par le schéma tactique espagnole qui laisse ses ailes vides.
Note du match: 13/20
lundi 9 juin 2008
Pays Bas-Italie
Feuille de match:
PAYS-BAS: 3 (Van Nistelrooy, 27e/ Sneijder, 32e/ Van Bronckhorst, 79e)
Van der Sar (Cap.)- Van Bronckhorst, Ooijer, Mathijsen, Boulahrouz (Heitinga, 77e)- Sneijder, Engelar, De Jong, Van der Vaart, Kuyt (Afellay, 81e)-Van Nistelrooy (Van Persie, 70e)
Joueur du match: Sneijder/ Van Bronckhorst
ITALIE: 0
Buffon (Cap.)- Zambrota, Materazzi (Grosso, 55e), Barzagli, Panucci- Ambrosini, Pirlo, Gattuso, Camoranesi (Casano, 74e)- Di Natale, (Del Piero, 64e) Toni
Joueur du match: Del Piero...
Sans contexte le plus beau match depuis le début de cet Euro, et de loin. Un festival "Oranje" conclut par 3 buts mais qui aurait pu être bien plus lourd.
Tout ou presque à réussi aux hollandais, même de marquer sur un hors-jeu lors du 1er but par l'inévitable Van Nistelrooy sur une frappe fusante de Sneijder. Rien à repprocher par contre au 2e but provenant d'une contre-attaque éclair et d'école des hollandais: Von Bronckhorst lancé seul sur la gauche ne joue pas la facilité et ajuste un tranversale à l'opposé sur Kuyt qui intelligemment remet, sans attendre un rebond, de la tête dans la surface à un Sneijder seul qui reprends à bout portant de volée... Les 3 défenseurs italiens dans la surface pourront dire qu'ils ont assistés à l'un des plus beaux buts de cet Euro...
On aurait pu croire les hollandais rassasiés mais il n'en fut rien; ils continuèrent sans relâche à jouer tandis que par à-coup, les italiens aussi tentèrent d'évoluer sans jamais réussir à trouver leurs attaquants tant le milieu "milanais" (Ambrosini, Pirlo, Gattuso) paraissait emprunté et pas dans le rythme.
Ce milieu resta jusqu'au bout malgré la pauvreté de ce qu'il a montré durant tout ce match. Très inspiré et revanchard, Van der Vaart fut de tout les bons coups sur les offensives prouvant que l'on peut jouer avec 2 vrais milieux défensifs et marquer 3 buts lorsque les latéraux participent au jeu. Pour preuve, le 3e but où Sneijder lance un Van Bronckhosrt dans l'axe (au lieu de partir de facon "téléphoné" sur sa ligne...) qui lui même, proche de la surface, trouve un Kuyt surpris qu'il lui donne la balle (lui-meme serait peut être allé défier directement le gardien) et qui tire sur le gardien. Contre favorable qui déporte Kuyt sur la droite qui centre sur un Van Bronkhosrt resté en position d'avant centre et qui marque de la tête.
Pour donner du crédit aux italiens, et Dieu sait que je n'aime pas trop cela, une ultime tentative de plongeon près de la surface leur donna un bon coup-franc qui, détourné par Van der Sar, lanca cette contre-attaque assassine que je viens de vous décrire... Comme quoi, à force de vouloir la faire à l'italienne, ils se sont fait contrer aussi bien tactiquement que physiquement dans un match où ils n'ont rien vu venir.
Note du match: 14/20
PAYS-BAS: 3 (Van Nistelrooy, 27e/ Sneijder, 32e/ Van Bronckhorst, 79e)
Van der Sar (Cap.)- Van Bronckhorst, Ooijer, Mathijsen, Boulahrouz (Heitinga, 77e)- Sneijder, Engelar, De Jong, Van der Vaart, Kuyt (Afellay, 81e)-Van Nistelrooy (Van Persie, 70e)
Joueur du match: Sneijder/ Van Bronckhorst
ITALIE: 0
Buffon (Cap.)- Zambrota, Materazzi (Grosso, 55e), Barzagli, Panucci- Ambrosini, Pirlo, Gattuso, Camoranesi (Casano, 74e)- Di Natale, (Del Piero, 64e) Toni
Joueur du match: Del Piero...
Sans contexte le plus beau match depuis le début de cet Euro, et de loin. Un festival "Oranje" conclut par 3 buts mais qui aurait pu être bien plus lourd.
Tout ou presque à réussi aux hollandais, même de marquer sur un hors-jeu lors du 1er but par l'inévitable Van Nistelrooy sur une frappe fusante de Sneijder. Rien à repprocher par contre au 2e but provenant d'une contre-attaque éclair et d'école des hollandais: Von Bronckhorst lancé seul sur la gauche ne joue pas la facilité et ajuste un tranversale à l'opposé sur Kuyt qui intelligemment remet, sans attendre un rebond, de la tête dans la surface à un Sneijder seul qui reprends à bout portant de volée... Les 3 défenseurs italiens dans la surface pourront dire qu'ils ont assistés à l'un des plus beaux buts de cet Euro...
On aurait pu croire les hollandais rassasiés mais il n'en fut rien; ils continuèrent sans relâche à jouer tandis que par à-coup, les italiens aussi tentèrent d'évoluer sans jamais réussir à trouver leurs attaquants tant le milieu "milanais" (Ambrosini, Pirlo, Gattuso) paraissait emprunté et pas dans le rythme.
Ce milieu resta jusqu'au bout malgré la pauvreté de ce qu'il a montré durant tout ce match. Très inspiré et revanchard, Van der Vaart fut de tout les bons coups sur les offensives prouvant que l'on peut jouer avec 2 vrais milieux défensifs et marquer 3 buts lorsque les latéraux participent au jeu. Pour preuve, le 3e but où Sneijder lance un Van Bronckhosrt dans l'axe (au lieu de partir de facon "téléphoné" sur sa ligne...) qui lui même, proche de la surface, trouve un Kuyt surpris qu'il lui donne la balle (lui-meme serait peut être allé défier directement le gardien) et qui tire sur le gardien. Contre favorable qui déporte Kuyt sur la droite qui centre sur un Van Bronkhosrt resté en position d'avant centre et qui marque de la tête.
Pour donner du crédit aux italiens, et Dieu sait que je n'aime pas trop cela, une ultime tentative de plongeon près de la surface leur donna un bon coup-franc qui, détourné par Van der Sar, lanca cette contre-attaque assassine que je viens de vous décrire... Comme quoi, à force de vouloir la faire à l'italienne, ils se sont fait contrer aussi bien tactiquement que physiquement dans un match où ils n'ont rien vu venir.
Note du match: 14/20
France-Roumanie (2e mi-temps)
Tout pareil qu'en première, pas mieux ; les seuls changements sont les remplacements de joueurs...
Quoi dire que ce fut un match sans rythme, sans percussion, sans course, du "pousse ballon" des 2 cotés. Peut-être aurait-il fallu rappeler aux 2 équipes que leurs adversaires respectifs suivants seront l'Italie et les Pays-Bas et non pas l'Azerbaïdjan et l'Islande?!?!
Note du match: 4/20
Quoi dire que ce fut un match sans rythme, sans percussion, sans course, du "pousse ballon" des 2 cotés. Peut-être aurait-il fallu rappeler aux 2 équipes que leurs adversaires respectifs suivants seront l'Italie et les Pays-Bas et non pas l'Azerbaïdjan et l'Islande?!?!
Note du match: 4/20
France-Roumanie (1ère mi-temps)
Feuille de match:
FRANCE: 0
Coupet- Abidal, Thuram (Cap.), Gallas, Sagnol- Malouda, Toulalan, Makélélé, Ribéry- Benzema, Anelka
ROUMANIE: 0
Lobont- Rat, Goian, Tamas, Contra- Mutu, Chivu (Cap.), Radoi, Cocis, Nicolita- D. Niculae
Alors oui, si vous me suivez sur ce blog, vous savez que je ne suis pas prioritairement pour la France (et même pendant cet Euro privé de l'Angleterre) mais sachez bien que ma sieste durant la première mi-temps n'est pas donc pas du à une volonté de ne pas voir évoluer les bleus (sinon, j'aurai tout fait pour dormir pendant le match des allemands, quitte à prendre un somnifère). Mais là, je n'ai pas pu resister et je me suis réveillé juste pendant la mi-temps pour vous faire part de cela... Allez savoir, je souffre peut-être aussi de la chaleur qui m'a plongé dans une forme d'inactivité...
FRANCE: 0
Coupet- Abidal, Thuram (Cap.), Gallas, Sagnol- Malouda, Toulalan, Makélélé, Ribéry- Benzema, Anelka
ROUMANIE: 0
Lobont- Rat, Goian, Tamas, Contra- Mutu, Chivu (Cap.), Radoi, Cocis, Nicolita- D. Niculae
Alors oui, si vous me suivez sur ce blog, vous savez que je ne suis pas prioritairement pour la France (et même pendant cet Euro privé de l'Angleterre) mais sachez bien que ma sieste durant la première mi-temps n'est pas donc pas du à une volonté de ne pas voir évoluer les bleus (sinon, j'aurai tout fait pour dormir pendant le match des allemands, quitte à prendre un somnifère). Mais là, je n'ai pas pu resister et je me suis réveillé juste pendant la mi-temps pour vous faire part de cela... Allez savoir, je souffre peut-être aussi de la chaleur qui m'a plongé dans une forme d'inactivité...
Allemagne-Pologne
Feuille de match
ALLEMAGNE: 2 (Podolski, 20e et 72e)
Lehmann- Jansen, Metzelder, Mertesacker, Lahm- Podolski, Ballack, Frings, Fritz (Schweinsteiger, 56e)- Kloze (Kuranyi, 91e), Gomez (Hitzsperger, 75e)
Joueur du match: Frings/Fritz
POLOGNE: 0
Boruc-Golanski (Saganowski, 75e), Bak, Zewlakov, Wasilewski- Smolarek, Krzynowek, Lewandowski, Dudka, Lobodzinski (Piszcek, 65e)- Zurawski (Guereiro, 46e)
Joueur du match: Guereiro
On dit souvent qu'il n'y a plus de petites équipes, que le niveau général du foot s'est équilibré ; mais lorsque l'on voit évoluer les allemands, cette vérité bat de l'aile tant cette équipe maîtrise son sujet et son football. Face à un séduisante mais trop limitée équipe polonaise, ils ont su prendre le jeu à leur compte et tranquillement gagner ce match, sans se presser ni s'énerver comme seules peu de grandes équipes peuvent le faire.
Deux, trois actions pour se mettre en jambes et dès la 20e minute, une passe en profondeur sur Klose mène au but de Podolski qui n'exulte pas étant, comme Klose, d'origine polonaise : un but et une préparation d'école tant au niveau de la profondeur que de l'altruisme de Klose qui glisse la balle à Podolski plutôt que de tenter le face à face avec le gardien. Un collectif bien huilé qui avait déjà amené un Gomez peu inspiré plusieurs fois devant le but sans réussite. Mais, quand on est une grande équipe, on sait que l'on va avoir beaucoup d'actions et que l'occasion se reproduira.
Et tout cas, gérant tout en jouant, les allemands on su gérer les offensives polonaises pour éviter au souvent faible cette année Lehman d'avoir à intervenir. Quelques incursions aménées par un bon Guereiro rentré à la mi-temps ne suffiront pas à stopper une équipe allemande qui marquera un joli 2e but sur une reprise du gauche de Podolski sur une passe/reprise ratée de Klose qui lui met le ballon parfaitement mais sans le vouloir...
On a eu l'impression que par respect pour les origines de Klose et de Podolski, l'Allemagne entirèe n'a pas voulu en rajouter mais on sent qu'il y en à encore sous la semelle.
Note du match: 12/20
ALLEMAGNE: 2 (Podolski, 20e et 72e)
Lehmann- Jansen, Metzelder, Mertesacker, Lahm- Podolski, Ballack, Frings, Fritz (Schweinsteiger, 56e)- Kloze (Kuranyi, 91e), Gomez (Hitzsperger, 75e)
Joueur du match: Frings/Fritz
POLOGNE: 0
Boruc-Golanski (Saganowski, 75e), Bak, Zewlakov, Wasilewski- Smolarek, Krzynowek, Lewandowski, Dudka, Lobodzinski (Piszcek, 65e)- Zurawski (Guereiro, 46e)
Joueur du match: Guereiro
On dit souvent qu'il n'y a plus de petites équipes, que le niveau général du foot s'est équilibré ; mais lorsque l'on voit évoluer les allemands, cette vérité bat de l'aile tant cette équipe maîtrise son sujet et son football. Face à un séduisante mais trop limitée équipe polonaise, ils ont su prendre le jeu à leur compte et tranquillement gagner ce match, sans se presser ni s'énerver comme seules peu de grandes équipes peuvent le faire.
Deux, trois actions pour se mettre en jambes et dès la 20e minute, une passe en profondeur sur Klose mène au but de Podolski qui n'exulte pas étant, comme Klose, d'origine polonaise : un but et une préparation d'école tant au niveau de la profondeur que de l'altruisme de Klose qui glisse la balle à Podolski plutôt que de tenter le face à face avec le gardien. Un collectif bien huilé qui avait déjà amené un Gomez peu inspiré plusieurs fois devant le but sans réussite. Mais, quand on est une grande équipe, on sait que l'on va avoir beaucoup d'actions et que l'occasion se reproduira.
Et tout cas, gérant tout en jouant, les allemands on su gérer les offensives polonaises pour éviter au souvent faible cette année Lehman d'avoir à intervenir. Quelques incursions aménées par un bon Guereiro rentré à la mi-temps ne suffiront pas à stopper une équipe allemande qui marquera un joli 2e but sur une reprise du gauche de Podolski sur une passe/reprise ratée de Klose qui lui met le ballon parfaitement mais sans le vouloir...
On a eu l'impression que par respect pour les origines de Klose et de Podolski, l'Allemagne entirèe n'a pas voulu en rajouter mais on sent qu'il y en à encore sous la semelle.
Note du match: 12/20
dimanche 8 juin 2008
Croatie-Autriche
Feuille de match:
CROATIE: 1 (Modric, 4e)
Pletikosa-Pranjic, Simunic, R. Kovac, Corluka- Kranjcar (Knezevic, 61e), N. Kovac (Cap.), Modric, Srna- Petric (Budan,72e), Olic (Vukojevic, 82e)
Joueur du match: Olic
AUTRICHE: 0
Macho-Standfest, Pogatetz, Stranzl, Prödl-Gercaliu (Korkmaz, 69e), Säumel (Vastic, 61e), Ivanschitz (Cap.), Aufhauser, Harnik- Linz (Kienast, 73e)
Joueur du match: Pogatetz pour l'ensemble de son oeurvre...
Il ne fallait pas arriver en retard pour voir la seule action valable de ce match: la pénétration dans la surface de Olic et le penalty transformé par Modric. A part cela, le seul fait fut la non expulsion pour fautes répétées de Pogatetz qui, non content de prendre un jaune pour contestation, voulu se mettre au judo le temps d'un débordement de Olic : affligeant...
On va dire que la qualité du match est proportionnelle à la longueur de ce texte: famélique.
Note du match: 4/20
CROATIE: 1 (Modric, 4e)
Pletikosa-Pranjic, Simunic, R. Kovac, Corluka- Kranjcar (Knezevic, 61e), N. Kovac (Cap.), Modric, Srna- Petric (Budan,72e), Olic (Vukojevic, 82e)
Joueur du match: Olic
AUTRICHE: 0
Macho-Standfest, Pogatetz, Stranzl, Prödl-Gercaliu (Korkmaz, 69e), Säumel (Vastic, 61e), Ivanschitz (Cap.), Aufhauser, Harnik- Linz (Kienast, 73e)
Joueur du match: Pogatetz pour l'ensemble de son oeurvre...
Il ne fallait pas arriver en retard pour voir la seule action valable de ce match: la pénétration dans la surface de Olic et le penalty transformé par Modric. A part cela, le seul fait fut la non expulsion pour fautes répétées de Pogatetz qui, non content de prendre un jaune pour contestation, voulu se mettre au judo le temps d'un débordement de Olic : affligeant...
On va dire que la qualité du match est proportionnelle à la longueur de ce texte: famélique.
Note du match: 4/20
Au fait...
J'ai oublié de vous donner mon favori!!! Normalement, les gens organisés le donnent au début mais pas moi... Bref, trève de suspense: mon favori, si ce n'est pour la victoire (je me protège, moi et ma crédibilité...), est l'Espagne.
Autres favoris qui iront loin selon moi: Pays-bas et Allemagne.
Voila, vous savez tout!!!
Autres favoris qui iront loin selon moi: Pays-bas et Allemagne.
Voila, vous savez tout!!!
Portugal-Turquie
Feuille du match:
Portugal: 2 ( Pepe, 61e/ Raul Meireles, 92e)
Ricardo-Paulo Ferreira, R. Carvalho, Pepe, Bosingwa- Simao (Raul Meireles, 82e), Deco (Fernando Meira, 92e), Petit, Joao Moutinho, C. Ronaldo-Nuno Gomes (Cap.)(Nani, 68e)
Joueur du match: Joao Moutinho
Turquie: 0
Volkan-Hakan Kadir, Servet, Gökhan Zan (Asik, 55e), Ham. Altintop (Sentürk, 75e)- Tunçay, Emre (Cap.), Mehmet Aurélio, Kazim Kazim-Nihat, Erding (Sabri, 46e)
Joueur du match: Kazim Kazim
Les portugais peuvent remercier le manque flagrant de préparation et d'organisation de l'équipe turque qui leur a laissé des largesses et une non-confrontation qui leur a permis de faire le strict minimum au niveau du jeu.
En même temps, l'une des forces du Portugal est de ce faire ce "peu" agréabke aux yeux: Pepe récupère et transperce le millieu puis la défense turque grace à un relais avec Nuno Gomes entre plusieurs joueurs se jettant vers le ballon comme des enfants sur un gateau d'anniversaire. Bref, de belles actions mais peu d'actions du côté portugais: un coup-franc de C. Ronaldo sur le montant de Volkan puis une contre attaque à la 92e minute très bien exploitée par les portugais grace à un accélération de Ronaldo sur la droite, un passe en profondeur à Joao Moutinho qui de manière très altruiste remet la balle à un Mereiles tout juste rentré en jeu.
Une Turquie venue faire de la figuration, présenter ces joueurs aux recruteurs de l'Europe de l'Ouest comme Kazin-Kazim, seul capable de garder le ballon plus de 30 secondes...
Note du match: 7/20
Portugal: 2 ( Pepe, 61e/ Raul Meireles, 92e)
Ricardo-Paulo Ferreira, R. Carvalho, Pepe, Bosingwa- Simao (Raul Meireles, 82e), Deco (Fernando Meira, 92e), Petit, Joao Moutinho, C. Ronaldo-Nuno Gomes (Cap.)(Nani, 68e)
Joueur du match: Joao Moutinho
Turquie: 0
Volkan-Hakan Kadir, Servet, Gökhan Zan (Asik, 55e), Ham. Altintop (Sentürk, 75e)- Tunçay, Emre (Cap.), Mehmet Aurélio, Kazim Kazim-Nihat, Erding (Sabri, 46e)
Joueur du match: Kazim Kazim
Les portugais peuvent remercier le manque flagrant de préparation et d'organisation de l'équipe turque qui leur a laissé des largesses et une non-confrontation qui leur a permis de faire le strict minimum au niveau du jeu.
En même temps, l'une des forces du Portugal est de ce faire ce "peu" agréabke aux yeux: Pepe récupère et transperce le millieu puis la défense turque grace à un relais avec Nuno Gomes entre plusieurs joueurs se jettant vers le ballon comme des enfants sur un gateau d'anniversaire. Bref, de belles actions mais peu d'actions du côté portugais: un coup-franc de C. Ronaldo sur le montant de Volkan puis une contre attaque à la 92e minute très bien exploitée par les portugais grace à un accélération de Ronaldo sur la droite, un passe en profondeur à Joao Moutinho qui de manière très altruiste remet la balle à un Mereiles tout juste rentré en jeu.
Une Turquie venue faire de la figuration, présenter ces joueurs aux recruteurs de l'Europe de l'Ouest comme Kazin-Kazim, seul capable de garder le ballon plus de 30 secondes...
Note du match: 7/20
Suisse-République Tchèque
Feuille du match:
SUISSE: 0
D. Benaglio-L. Magnin, P. Senderos, P. Mullër, S. Lichtsteiner (J. Vonlanthen, 76e)-T. Barnetta, G. Fernandes, G. Inler, V. Behrami (E. Derdiyok, 84e)-M. Streller, A. Frei (Cap.)(H. Yakin, 45e)
Entraineur: K. Kuhn
Joueur du match: le public...
Rep. Tchèque: 1 ( V.Sverkos 70e)
P. Cech-M. Jankulovski, D. Rozehnal, T. Ujfalusi (Cap.), Z. Grygera- M. Plasil, D. Jarolim (R. Kovac, 87e), T. Galasek, J. Polak, L. Sionko(S. Vleck, 83e)-I. Koller (V.Sverkos, 56e)
Joueur du match: Sverkos
Que dire de ce premier match à part qu'il n'a pas vraiment décu? A ceux qui se posaient des questions sur le niveau de la Suisse et sa possible capacité à être une surprise : ils ont leur réponse après ce premier match.
En effet, peu de jeu proposé par les deux formations venues surtout pour ne pas perdre et ne pas être quasiment déjà éliminées. Très regroupé en défense, peu nombreux en phases offensives (j'ai longuement hésité à mettre les "s" à la fin des 2 derniers mots tant leur utilité et véracité est discutable...); il est normal qu'il soit difficile de mettre en difficulté une défense lorsque vous attaquez à 3 contre 6 voire plus.
Dans ce jeu de tranchée, ce sont les Suisses qui s'en sont mieux sortis en développant le plus de jeu et réussissant le plus de passes d'affilé (en effet: un match peu palpitant se résume au calcul du nombre de passes succesives réussis). Jouant avec 3 milieux à vocation défensives (en la personne de Galasez, Polak et Jarolim) pour ce match, la Rep. Tchèque avait prévu de jouer, comme d'habitude, long sur Koller en espérant qu'une de ces déviations ne prennes de vitesse une défense suisse lourde et pas forcèment dans le rythme (Senderos n'étant pas un titulaire indiscutable en club et Müller n'ayant quasiment pas joué de la saison avec Lyon). Tentatives rares et peu concluantes (le retour du "s"...) pour le pataud et géant tchèque Koller qui va s'ennuyer sévère pendant cet Euro ; surtout si son pays passe le premier tour faute de mieux.
Il fut d'ailleurs remplacé peu après le mi-temps par un plus jeune et plus actif attaquant nommé Sverkos qui, opportuniste, ne laissa pas passer l'occasion de marquer sur une relance de la défense suisse après un corner: la défense remontant aussi rapidement qu'une petite voiture de nettoyage des rues parisiennes sur une cote, Senderos couvrait encore un Sverkos qui repris victorieusement du tibia droit un balle légèrement déviée par le retour de Lichsteiner. Un vrai but de "renard" qui va réveiller les suisses qui vont avoir quelques occasions franches("s"...) mais stériles de se rattrapper. Notamment lorsque Vonlanthen trouva la barre sur un beau mouvement collectif.
Malgré tout cela, le match fut relativement pauvre en actions, même si ces dernières furent souvent dangereuses. L'inquiétant vient surtout du manque de forme des joueurs et des équipes dont les lignes se coupèrent en 2 amenant ce que nous appeleront des "contre-attaque"(sachant qu'il faudrait qu'une équipe A attaque pour que la B contre attaque ; ce qui ne fut pas le cas pour l'équipe A...) comme à une fin de match mais cela dès la 20 minutes de jeu. Un état de forme qui ne présage rien de bon et explique la multitude de blessures pendant les matches ou durant les entrainements qui renvoient vers l'éternelle question du nombre de matches par saison des joueurs de foot pro. A noter d'ailleurs la sortie sur blessure de Frei, juste avant la mi-temps, qui ne jouera plus pour cet Euro.
NOTE DU MATCH: 5/20
SUISSE: 0
D. Benaglio-L. Magnin, P. Senderos, P. Mullër, S. Lichtsteiner (J. Vonlanthen, 76e)-T. Barnetta, G. Fernandes, G. Inler, V. Behrami (E. Derdiyok, 84e)-M. Streller, A. Frei (Cap.)(H. Yakin, 45e)
Entraineur: K. Kuhn
Joueur du match: le public...
Rep. Tchèque: 1 ( V.Sverkos 70e)
P. Cech-M. Jankulovski, D. Rozehnal, T. Ujfalusi (Cap.), Z. Grygera- M. Plasil, D. Jarolim (R. Kovac, 87e), T. Galasek, J. Polak, L. Sionko(S. Vleck, 83e)-I. Koller (V.Sverkos, 56e)
Joueur du match: Sverkos
Que dire de ce premier match à part qu'il n'a pas vraiment décu? A ceux qui se posaient des questions sur le niveau de la Suisse et sa possible capacité à être une surprise : ils ont leur réponse après ce premier match.
En effet, peu de jeu proposé par les deux formations venues surtout pour ne pas perdre et ne pas être quasiment déjà éliminées. Très regroupé en défense, peu nombreux en phases offensives (j'ai longuement hésité à mettre les "s" à la fin des 2 derniers mots tant leur utilité et véracité est discutable...); il est normal qu'il soit difficile de mettre en difficulté une défense lorsque vous attaquez à 3 contre 6 voire plus.
Dans ce jeu de tranchée, ce sont les Suisses qui s'en sont mieux sortis en développant le plus de jeu et réussissant le plus de passes d'affilé (en effet: un match peu palpitant se résume au calcul du nombre de passes succesives réussis). Jouant avec 3 milieux à vocation défensives (en la personne de Galasez, Polak et Jarolim) pour ce match, la Rep. Tchèque avait prévu de jouer, comme d'habitude, long sur Koller en espérant qu'une de ces déviations ne prennes de vitesse une défense suisse lourde et pas forcèment dans le rythme (Senderos n'étant pas un titulaire indiscutable en club et Müller n'ayant quasiment pas joué de la saison avec Lyon). Tentatives rares et peu concluantes (le retour du "s"...) pour le pataud et géant tchèque Koller qui va s'ennuyer sévère pendant cet Euro ; surtout si son pays passe le premier tour faute de mieux.
Il fut d'ailleurs remplacé peu après le mi-temps par un plus jeune et plus actif attaquant nommé Sverkos qui, opportuniste, ne laissa pas passer l'occasion de marquer sur une relance de la défense suisse après un corner: la défense remontant aussi rapidement qu'une petite voiture de nettoyage des rues parisiennes sur une cote, Senderos couvrait encore un Sverkos qui repris victorieusement du tibia droit un balle légèrement déviée par le retour de Lichsteiner. Un vrai but de "renard" qui va réveiller les suisses qui vont avoir quelques occasions franches("s"...) mais stériles de se rattrapper. Notamment lorsque Vonlanthen trouva la barre sur un beau mouvement collectif.
Malgré tout cela, le match fut relativement pauvre en actions, même si ces dernières furent souvent dangereuses. L'inquiétant vient surtout du manque de forme des joueurs et des équipes dont les lignes se coupèrent en 2 amenant ce que nous appeleront des "contre-attaque"(sachant qu'il faudrait qu'une équipe A attaque pour que la B contre attaque ; ce qui ne fut pas le cas pour l'équipe A...) comme à une fin de match mais cela dès la 20 minutes de jeu. Un état de forme qui ne présage rien de bon et explique la multitude de blessures pendant les matches ou durant les entrainements qui renvoient vers l'éternelle question du nombre de matches par saison des joueurs de foot pro. A noter d'ailleurs la sortie sur blessure de Frei, juste avant la mi-temps, qui ne jouera plus pour cet Euro.
NOTE DU MATCH: 5/20
16 équipes, 31 matchs...
Et le 13e Championnat d'Europe des Nations est lancé!!! Il commencera ce samedi avec 2 affiches
du groupe A : l'un des organisateurs, la Suisse, contre la République Tchéque; puis le Portugal contre la Turquie.
On dit souvent que l'Euro est une compétition, si ce n'est plus dur à gagner, au niveau plus relevé qu'une coupe du monde du faite de plus grand nombre de pays bien classé à la FIFA. Il n'empèche que, contrairement à la Coupe du Monde, l'Euro a déjà été gagné par des equipes surprises comme le Danemark en 1992 (très belle équipe mais repéchée au dernier moment du fait du boycott de l'URSS) ou de la Grèce en 2004. La logique des grosses équipes est plutôt bien respectée même si l'Euro parait pour certaines comme une récompense générationnelle non-acquise en Coupe du Monde: la France victorieuse en 1984 est quasiment la même que celle qui s'incline en demi des Coupe du Monde 1982 et 1986. Même constat pour l'URSS et l'Espagne, toutes les 2 victorieuses à l'EURO mais jamais finalistes d'un mondial.
Alors, si l'Euro est plus dur à gagner, pourquoi ces équipes n'ont pas gagné la Coupe du Monde? Normalement, qui peut le plus, peut le moins?!?!
du groupe A : l'un des organisateurs, la Suisse, contre la République Tchéque; puis le Portugal contre la Turquie.
On dit souvent que l'Euro est une compétition, si ce n'est plus dur à gagner, au niveau plus relevé qu'une coupe du monde du faite de plus grand nombre de pays bien classé à la FIFA. Il n'empèche que, contrairement à la Coupe du Monde, l'Euro a déjà été gagné par des equipes surprises comme le Danemark en 1992 (très belle équipe mais repéchée au dernier moment du fait du boycott de l'URSS) ou de la Grèce en 2004. La logique des grosses équipes est plutôt bien respectée même si l'Euro parait pour certaines comme une récompense générationnelle non-acquise en Coupe du Monde: la France victorieuse en 1984 est quasiment la même que celle qui s'incline en demi des Coupe du Monde 1982 et 1986. Même constat pour l'URSS et l'Espagne, toutes les 2 victorieuses à l'EURO mais jamais finalistes d'un mondial.
Alors, si l'Euro est plus dur à gagner, pourquoi ces équipes n'ont pas gagné la Coupe du Monde? Normalement, qui peut le plus, peut le moins?!?!
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